Manoël Gaud, comme beaucoup de jeunes gens ayant vécu en Algérie avant son indépendance en 1962, reste très marqué par sa vie là-bas et par le parcours de ses parents, qui ont participé à la construction des infrastructures du pays.
Son premier livre « Des étés féminins » relate l’histoire de son enfance et de son adolescence en Algérie, le second relate sa rencontre avec la langue et la culture arabe.
C’étaient celles d’un peuple qu’il avait côtoyé pendant de nombreuses années, avec qui il avait partagé les jeux de l’enfance, les bancs de l’école publique, et que finalement il connaissait si peu et si mal.
Manoël Gaud, comme beaucoup de jeunes gens ayant vécu en Algérie avant son indépendance en 1962, reste très marqué par sa vie là-bas et par le parcours de ses parents, qui ont participé à la construction des infrastructures du pays.
Son premier livre « Des étés féminins » relate l’histoire de son enfance et de son adolescence en Algérie, le second relate sa rencontre avec la langue et la culture arabe.
C’étaient celles d’un peuple qu’il avait côtoyé pendant de nombreuses années, avec qui il avait partagé les jeux de l’enfance, les bancs de l’école publique, et que finalement il connaissait si peu et si mal.
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