Né en Crau, dans le mas de l’Acampado, celui-là même où se déroula cette tragédie du 7 août 1944, Le Chapacan a traversé son enfance et sa jeunesse au mitan des troupeaux de moutons et des manades de taureaux, au cœur des bergeries comme au bord des arènes en planches ; baignant dès son plus jeune âge dans les mots et expressions de la langue provençale de Mistral, principal modèle de communication dont usaient ses parents à l’époque. Après qu’il eut jonglé de longues années avec des quilles de chiffres, il sombra dans l’abîme de la rentabilité, d’où la flamme de l’écriture, rôdant aux abords de l’objectif, vint l’en extirper pour le guider sur les traces de cette histoire délétère qu’il recouvrira des fagots de la comédie.
Né en Crau, dans le mas de l’Acampado, celui-là même où se déroula cette tragédie du 7 août 1944, Le Chapacan a traversé son enfance et sa jeunesse au mitan des troupeaux de moutons et des manades de taureaux, au cœur des bergeries comme au bord des arènes en planches ; baignant dès son plus jeune âge dans les mots et expressions de la langue provençale de Mistral, principal modèle de communication dont usaient ses parents à l’époque. Après qu’il eut jonglé de longues années avec des quilles de chiffres, il sombra dans l’abîme de la rentabilité, d’où la flamme de l’écriture, rôdant aux abords de l’objectif, vint l’en extirper pour le guider sur les traces de cette histoire délétère qu’il recouvrira des fagots de la comédie.
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