Mahlya fut très attachée à son grand-père paternel musicien, chef d'orchestre, compositeur français chez lequel elle passait toutes ses vacances scolaires depuis l'enfance. Assistant aux répétitions d'opéras et opérettes, elle prit le virus des mots et des drames de la vie. Plus tard, l'auteure se passionna pour la gestalt (thérapie de groupe qu'elle enseigna en Pologne) ce qui lui apprit à observer tout caractère humain. Il y a donc dans ses œuvres beaucoup d'empathie, de philosophie et de poésie. Mahlya travailla comme correctrice pour l’ONU, puis auprès d'une société suisse sportive pour laquelle elle organisa des soirées et rédigea des conférences sur l’Helvétie.
Mahlya fut très attachée à son grand-père paternel musicien, chef d'orchestre, compositeur français chez lequel elle passait toutes ses vacances scolaires depuis l'enfance. Assistant aux répétitions d'opéras et opérettes, elle prit le virus des mots et des drames de la vie. Plus tard, l'auteure se passionna pour la gestalt (thérapie de groupe qu'elle enseigna en Pologne) ce qui lui apprit à observer tout caractère humain. Il y a donc dans ses œuvres beaucoup d'empathie, de philosophie et de poésie. Mahlya travailla comme correctrice pour l’ONU, puis auprès d'une société suisse sportive pour laquelle elle organisa des soirées et rédigea des conférences sur l’Helvétie.
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