Raymond Forestier est né le 9 décembre 1962, dans le 93 à Bondy. Sa scolarité s’est arrêtée tôt, en effet, il est dyslexique et dyspraxique, ce qui engendre des troubles du comportement. À quinze ans, il s’est orienté vers un apprentissage de plombier chauffagiste. À dix-huit ans, il obtient un CAP grâce à une bonne dose de combats, de miracles et de bienveillance de la part de l’Éducation Nationale. À vingt ans, une fois libéré de ses obligations militaires, il est embauché dans une grosse entreprise parisienne du bâtiment. Il vit en banlieue en laissant ses envies s’effacer. À trente ans, suite à un lourd accident du travail ayant provoqué un trauma crânien, l’auteur est plongé dans le coma dix-neuf jours, le temps que cet hématome extradural se résorbe. Après un réveil dans...
Raymond Forestier est né le 9 décembre 1962, dans le 93 à Bondy. Sa scolarité s’est arrêtée tôt, en effet, il est dyslexique et dyspraxique, ce qui engendre des troubles du comportement. À quinze ans, il s’est orienté vers un apprentissage de plombier chauffagiste. À dix-huit ans, il obtient un CAP grâce à une bonne dose de combats, de miracles et de bienveillance de la part de l’Éducation Nationale. À vingt ans, une fois libéré de ses obligations militaires, il est embauché dans une grosse entreprise parisienne du bâtiment. Il vit en banlieue en laissant ses envies s’effacer. À trente ans, suite à un lourd accident du travail ayant provoqué un trauma crânien, l’auteur est plongé dans le coma dix-neuf jours, le temps que cet hématome extradural se résorbe. Après un réveil dans l’autre monde et une longue rééducation, juste assez pour se souvenir de ses vraies envies ─ être aimé et faire l’artiste : les cabarets, la téloche, le cinoche… Il écrit un livre avec ses mots de dyslexique qui se rappelle avoir envie.
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