Ahmed Saïd Farah, « Mona de Zonz » pour les intimes, est né à Djibouti en 1991. Son pays natal lui a transmis le goût de l’étrange et de l’irrationnel, mais aussi de l’exotisme. Il commence à rédiger ses poèmes très tôt, en rassemblant tous les mots glanés ici ou là pour compenser une étourderie inhérente à des troubles dans le cocon familial. Il préfère écrire plutôt qu’étudier et poursuit ses études au moins jusqu’en terminale pour se tourner vers l’art, en passant une année à l’Académie royale des Beaux-Arts et Peinture. En 2020, il rejoint la Belgique et se lance dans le journalisme, tout en travaillant bénévolement dans une association sans but lucratif. En 2023, Mona s’installe à Liège pour se consacrer à sa carrière d’auteur.
Ahmed Saïd Farah, « Mona de Zonz » pour les intimes, est né à Djibouti en 1991. Son pays natal lui a transmis le goût de l’étrange et de l’irrationnel, mais aussi de l’exotisme. Il commence à rédiger ses poèmes très tôt, en rassemblant tous les mots glanés ici ou là pour compenser une étourderie inhérente à des troubles dans le cocon familial. Il préfère écrire plutôt qu’étudier et poursuit ses études au moins jusqu’en terminale pour se tourner vers l’art, en passant une année à l’Académie royale des Beaux-Arts et Peinture. En 2020, il rejoint la Belgique et se lance dans le journalisme, tout en travaillant bénévolement dans une association sans but lucratif. En 2023, Mona s’installe à Liège pour se consacrer à sa carrière d’auteur.
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