Je me dévoile avec pudeur, je suis Aziz K, j’ai 41 ans et je suis un passionné de l’écriture. Peu de personnes connaissent ce côté de moi. Dans la vie, une expression me définit totalement : « L’habit ne fait pas le moine ». Bien qu’avoir grandi avec des parents ne sachant ni lire ni écrire, j’ai découvert très tôt l’amour des mots. Dans ce foyer où les livres étaient absents, où les lettres dansaient sans jamais se poser sur le papier, j’ai pourtant trouvé un trésor inattendu : l’envie de comprendre, de dire, de lire et d’écrire. L’intérêt pour la langue de Molière ne m’est pas venu d’un héritage, mais par soif. La soif de beauté, de nuances, d’expressions. Là où les parents transmettaient par les gestes, les regards, moi je voulais traduire tout cela en phrases. Chaque mot...
Je me dévoile avec pudeur, je suis Aziz K, j’ai 41 ans et je suis un passionné de l’écriture. Peu de personnes connaissent ce côté de moi. Dans la vie, une expression me définit totalement : « L’habit ne fait pas le moine ». Bien qu’avoir grandi avec des parents ne sachant ni lire ni écrire, j’ai découvert très tôt l’amour des mots. Dans ce foyer où les livres étaient absents, où les lettres dansaient sans jamais se poser sur le papier, j’ai pourtant trouvé un trésor inattendu : l’envie de comprendre, de dire, de lire et d’écrire. L’intérêt pour la langue de Molière ne m’est pas venu d’un héritage, mais par soif. La soif de beauté, de nuances, d’expressions. Là où les parents transmettaient par les gestes, les regards, moi je voulais traduire tout cela en phrases. Chaque mot appris était pour moi une conquête, chaque texte écrit, une victoire discrète sur le silence. Aujourd’hui encore, c’est dans l’écriture que je tisse mes racines et que je rends hommage à ceux qui sans lire ni écrire, m’ont donné le plus bel élan : celui du cœur.
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