Michel BARBE a toujours eu envie d’écrire. Il a franchi le pas quand il a pris sa retraite avec son premier roman « Les argiles bleues » qui a obtenu le Prix du roman de terroir.
Tous les romans qui ont suivi sont, comme le premier, influencés par ses études de géographie à l’Université Toulouse le Mirail, sa profession de chargé d’études à la Direction départementale de l’Équipement à Perpignan et son goût pour la musique, essentiellement la chanson française et le jazz. Ce côté artistique, il le tient de ses parents musiciens et de ses années de guitariste chanteur dans un orchestre de variétés au temps de l’Université.
Il écrit des histoires avec des personnages auxquels il finit par s’attacher, assure-t-il, comme s’il les...
Michel BARBE a toujours eu envie d’écrire. Il a franchi le pas quand il a pris sa retraite avec son premier roman « Les argiles bleues » qui a obtenu le Prix du roman de terroir.
Tous les romans qui ont suivi sont, comme le premier, influencés par ses études de géographie à l’Université Toulouse le Mirail, sa profession de chargé d’études à la Direction départementale de l’Équipement à Perpignan et son goût pour la musique, essentiellement la chanson française et le jazz. Ce côté artistique, il le tient de ses parents musiciens et de ses années de guitariste chanteur dans un orchestre de variétés au temps de l’Université.
Il écrit des histoires avec des personnages auxquels il finit par s’attacher, assure-t-il, comme s’il les avait toujours connus : « Je vis avec eux pendant des mois, je crois diriger leur destinée, mais est-ce si sûr ?... Ils m’attirent souvent vers des directions que je n’avais même pas imaginées ».
Après des romans édités chez TDO éditions : « Les argiles bleues », « Les terres rouges », « À la source des pierres vertes », « Les trois Dames blanches », « Une vengeance catalane » et « Quand la tramontane soufflait dans les haubans », Michel Barbe signe un livre illustré chez Nombre 7 : « Il était un étang méditerranéen ».
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