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Sandra Leon


Sandra Leon

Je suis une personne plutôt solitaire, avec un sérieux souci de filtre entre mon cerveau et ma bouche. Même si parfois il m’arrive de m’exprimer avec tact, mon stock de patience s’amenuise rapidement et tout fini par sortir comme cela se présente dans ma tête. Du coup, dans la vraie vie, j’évite de parler aux gens, sauf si je me sens vraiment bien avec. Étonnamment, je suis bien plus sociable sur les jeux vidéos… Il m’arrive d’être « famille », mais je le suis surtout avec mon mari et mes enfants. Aussi, la révélation de ce projet a été une véritable surprise pour mon entourage qui ignorait que j’écrivais.
Je n’ai pas pour habitude de justifier mes actes ou mes choix, et je me contrefiche depuis toujours de ce que l’on peut raconter sur mon compte, que ce soit vrai ou faux....

Je suis une personne plutôt solitaire, avec un sérieux souci de filtre entre mon cerveau et ma bouche. Même si parfois il m’arrive de m’exprimer avec tact, mon stock de patience s’amenuise rapidement et tout fini par sortir comme cela se présente dans ma tête. Du coup, dans la vraie vie, j’évite de parler aux gens, sauf si je me sens vraiment bien avec. Étonnamment, je suis bien plus sociable sur les jeux vidéos… Il m’arrive d’être « famille », mais je le suis surtout avec mon mari et mes enfants. Aussi, la révélation de ce projet a été une véritable surprise pour mon entourage qui ignorait que j’écrivais.
Je n’ai pas pour habitude de justifier mes actes ou mes choix, et je me contrefiche depuis toujours de ce que l’on peut raconter sur mon compte, que ce soit vrai ou faux. Entourage ou non, j’estime que chacun est libre de penser ce qu’il veut. Toutefois, je tiens à préciser que même s’il s’agit d’un roman, certaines choses sont parfaitement réelles derrière leurs enrobages dans cet ouvrage.
Au quotidien :
Après avoir travaillé dans la restauration de luxe pendant plusieurs années, j’en ai eu marre des « vieux cons pleins de pognon hypocrites » et j’ai opté pour des « petits patrons tout mignons francs et sympathiques ». Aujourd’hui, je suis « nounou » et, bien entendu, mes petits protégés n’ont pas droit aux mêmes histoires.
Je ne suis pas quelqu’un de compliqué. Du moins, je ne le pense pas. J’aime manger (bien, beaucoup… et tout le temps), faire de temps en temps de la pâtisserie (mais comme je suis une horrible perfectionniste, ça prend toujours dix plombes !), lire, écrire et rigoler sur tout, même sur les sujets les plus sensibles. Je déteste : la foule, le métro, les aubergines (ne me demandez pas pourquoi je l’ai mis, c’est juste que je n’aime vraiment pas ça), faire les magasins (sauf pendant la période de Noël parce que j’adore appuyer sur tous les boutons accessibles dans les rayons jouets), qu’on me force à faire quelque chose que je n’aime pas ou que je n’ai pas envie de faire sur le moment. Dans ces derniers cas, je peux me montrer vraiment infecte et sournoise et, en règle générale, ça motive la personne à ne plus venir m’embêter. Ma technique : mettre cette personne très mal à l’aise. Et je n’ai honte de rien !
Mon moment idéal : affalée dans mon salon de jardin, mon ordi ou un bon livre dans les mains, une bière bien fraîche et une bonbonnière pleine de sucettes « Kojak » à disposition, en fond de musique rock ou metal. Parfois, je remplace l’ordi et le livre par un jeu vidéo. Tant que ma solitude n’est pas affectée, tout passe.
Mes amours de ma vie : mon mari, mes enfants et peut-être quelques amis (mais très peu et pas trop souvent).
Ce que je préfère par-dessus tout : la complicité que j’ai avec mon mari et mes enfants. Nous sommes très fusionnels et nous passons souvent pour une famille de timbrés du bocal. Si nos enfants ne sont pas en reste niveau bouche et création de bêtises en tous genres, nous, parents, nous sommes bien pires. Mais Nombre7 Siège aura certainement l’occasion de s’en apercevoir lors d’une visite… (on reste des gens super gentils quand même…)
L’histoire de ce manuscrit : Toute bête. Ma chef de guilde dans un jeu vidéo et grande amie, Sandrine – alias Destina, Chef, ou plus communément Ma Femme – a eu la charmante idée de mettre quelqu’un comme moi pour gérer la « diplomatie », ce qui m’obligeait de temps en temps à discuter au micro. Lors d’une soirée un peu arrosée et au micro avec mes camarades, nous discutions littérature et plus précisément de Bit-Lit. Chef râlait parce qu’elle n’avait plus rien à lire. Un peu éméchée, à la rigolade, je lui ai dit « Bah ! J’te ponds un bouquin demain, moi ! ». Ce à quoi elle a répondu un truc dans le genre « Vu comment tu nous fais rire avec tes messages d’encouragements sur les évents, je te mets au défi de le faire pour de vrai. Vas-y, ponds-moi un bouquin ! ». Et me voilà embarquée dans cette aventure un peu folle, au point d’en avoir été complètement happée.
Neuf mois après, Samhain Carmesí premier jet était clos. Ayant passé, tout mon temps libre dessus (soirées, nuits, week-end, vacances), et mon mari s’étant transformé en Tony Mitchelli (ménage, cuisine, enfants, secrétaire, gardien de mon espace vital… Il a TOUT fait et avec le sourire !) pour me laisser le temps de me plonger dans ma passion, je voulais être certaine que mon amie ne serait pas déçue de mon travail. Alors, je l’ai fait lire à une copine adepte du genre. Le lendemain de la réception de mon « brouillon », elle m’a maudite. Pour deux raisons. La première, parce qu’elle n’avait pas dormi de la nuit. La deuxième, pour la fin. Et elle a commencé à me harceler pour que je soumette mon travail à des maisons d’édition.
Je n’y croyais pas alors je l’ai fait lire à plusieurs personnes aux goûts différents et après moult messages de tous, j’ai discuté de ce qu’il se passait avec Sandrine – puisqu’après tout, c’était pour elle. Elle l’a voulu en livre. Alors, sans rien lui promettre, j’ai tenté ma chance. Et me voilà ! Et pour une fois, je n’ai pas l’impression d’être la « couille » dans le potage ! Chez Nombre7, en tout cas... Parce que les autres maisons qui m’ont proposé des contrats me voulaient comme un fromage : bien dans le moule (et avec un portefeuille fourni, ce qui n’est pas forcément très gratifiant et m’a beaucoup fait douter). J'espère que ma famille - toujours entre choc, stupeur, consternation ou hyperventilation - passera outre le genre, le style, les mots crus ou durs et sera sincèrement fière du chemin (souvent chaotique) que j'ai parcouru. Je souhaite qu'elle se souvienne que j'ai fait de mes mots des armes à la hauteur de mes maux.

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