Vincent Bouton est né en 1950, sur les bords de la Loire, à Orléans.
Il écrit depuis l’âge de 13 ans, essentiellement de la poésie comme beaucoup d’adolescents. Plus tard, dans les années soixante, Patrice de La Tour du Pin, grâce à l’amitié malicieuse de Léon Dupuis, l’encourage à persévérer dans la poésie, dans une correspondance précieuse et lumineuse. Henri Chambre (s.j.) lui fait découvrir les poètes russes Maïakosky, Essenine, Evtouchenko et Armatova entre autres, qui lui feront prendre le pseudonyme d’Igor Pougoffkhine (pougoff signifiant « bouton » en russe).
Ses études de médecine, puis l’exercice de l’oto-rhino-laryngologie ne l’empêcheront pas de continuer d’écrire, sans jamais rien publier.
Vincent Bouton...
Vincent Bouton est né en 1950, sur les bords de la Loire, à Orléans.
Il écrit depuis l’âge de 13 ans, essentiellement de la poésie comme beaucoup d’adolescents. Plus tard, dans les années soixante, Patrice de La Tour du Pin, grâce à l’amitié malicieuse de Léon Dupuis, l’encourage à persévérer dans la poésie, dans une correspondance précieuse et lumineuse. Henri Chambre (s.j.) lui fait découvrir les poètes russes Maïakosky, Essenine, Evtouchenko et Armatova entre autres, qui lui feront prendre le pseudonyme d’Igor Pougoffkhine (pougoff signifiant « bouton » en russe).
Ses études de médecine, puis l’exercice de l’oto-rhino-laryngologie ne l’empêcheront pas de continuer d’écrire, sans jamais rien publier.
Vincent Bouton s’essaye aux concours locaux de poésie pour tâter le vent et se confronter à la lecture par les autres. Trois concours : trois prix. Deux fois (1996 et 1997) le premier prix de la ville de Bois le Roi où il s’installera d’ailleurs en tant que citoyen en 1997 et une fois le deuxième prix de l’agglomération des cités du Val de Seine en 2001 avec une première publication au titre de lauréat, dans la revue Grappe N°54 de 2002. Notons que le 3e prix de ce concours revint aussi à Vincent Bouton, sous son pseudonyme d’Igor Pougoffkhine, publié lui aussi dans la revue La Grappe.
Avec le peintre américain John F.Koenig, son ami américain, rencontré en 1981 à San Francisco, ils font œuvre commune dans une publication originale, inédite, « Voyageur de l’âme », poésie et peinture graphique, en janvier 1990.
C’est récemment, sur les conseils de L.Dubost, qu’il se décide à envoyer aux Revues quelques poèmes obligatoirement inédits. Entre-temps il commet un essai sur la relation patient-médecin, « Le Rhinosophe », édité chez Publibook en 2006 suivi de « Nez en mains » en 2008. Il publie en 2007 chez Amalthée un petit comte spirituel « La statue à sa fenêtre ».
Sa poésie est publiée dans la revue « l’Inédit Nouveau » N° 207(« Incarné », extraits de « Egopoésies », p.17, 2006), dans la revue « Rimbaud » N° 38 (« Eaux et Cieux », extraits de « Héliopoésies », p. 74, 2006), dans la revue « Le coin de table » N° 31 (Extraits de « Oiseaux », p. 90, 2007) et dans la Revue Friches N° 97 (« Arbres et terre », Phytopoésie, pages 32-35, Automne 2007).
À ses heures perdues il écrit aussi des paroles de chansons pour la chanteuse Cassie Lou (« L’Enfange » en 2006) et le chanteur Pascal Mornac (« Elle est ma femme », « Paris café » en 2007).
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