Issue du milieu agricole, Françoise Niel Aubin a passé sa vie entre fleurs des champs et animaux de la ferme. Plutôt fâchée avec l’école, ça n’est qu’à la quarantaine qu’elle est informée de sa dyslexie. Mais rien ne l’arrête. À la suite d’une grave dépression, à la quarantaine, elle écrit très régulièrement à un ami, en grande quantité, ce qui lui permet de panser ses plaies et la conforte dans son potentiel. C’est avec l’avènement d’internet qu’elle commence à ouvrir ses ailes, côté écriture. Elle est aussi artiste peintre, calligraphe, vidéaste, chroniqueuse, et aimerait trouver le temps d’être photographe. Côté peinture, elle s’oriente de plus en plus, vers une forme de militantisme, pour joindre l’utile à l’agréable, comme elle dit. Dans cette première partie de sa vie d’adulte,...
Issue du milieu agricole, Françoise Niel Aubin a passé sa vie entre fleurs des champs et animaux de la ferme. Plutôt fâchée avec l’école, ça n’est qu’à la quarantaine qu’elle est informée de sa dyslexie. Mais rien ne l’arrête. À la suite d’une grave dépression, à la quarantaine, elle écrit très régulièrement à un ami, en grande quantité, ce qui lui permet de panser ses plaies et la conforte dans son potentiel. C’est avec l’avènement d’internet qu’elle commence à ouvrir ses ailes, côté écriture. Elle est aussi artiste peintre, calligraphe, vidéaste, chroniqueuse, et aimerait trouver le temps d’être photographe. Côté peinture, elle s’oriente de plus en plus, vers une forme de militantisme, pour joindre l’utile à l’agréable, comme elle dit. Dans cette première partie de sa vie d’adulte, elle développe aussi une passion pour le jardin.