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Dos carré collé  148x210  152 pages  Parution février 2024 

C’est la bonne odeur du sang qui m’a conduit jusque dans vos contrées.

« Il s’est découvert depuis un mois dans la forêt de Singlaiz entre ci et Falaise, une bête sauvage qui a déjà dévoré quinze personnes. […] Ceux qui ont évité sa dent rapportent que la forme de cet animal farouche est pareille à celle d’un grand dogue, d’une telle vitesse qu’il est impossible de l’atteindre à la course, et d’une agilité si extraordinaire qu’ils lui ont vu sauter notre rivière à quelques endroits. »

La Gazette du 19 mars 1632

 

Je n’étais qu’un modeste curé dans un village de la forêt de Cinglais pendant les événements de la terrifiante histoire dite de la « Bête de Cinglais ». Certains l’appellent la « Bête de Caen », incapables d’identifier notre village sur une carte. D’autres encore parlent de la « Bête d’Évreux », mais est-ce bien la même bête ?


B B


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