Seuls les arbres se souviennent

Jean, lassé de représenter au Mexique un groupe mondial d’électronique, se convertit à l’action philanthropique.

Il a fermement l’intention de se rendre enfin utile. En améliorant les conditions de vie d’une communauté de cultivateurs de café. Frustrant ainsi les barons locaux d’une part non négligeable de leurs revenus. Provoquant une action punitive au-delà de toute horreur.

Motivé par les plus louables intentions du monde, Jean ressent être la cause involontaire du massacre.

Il agite son monde pour racheter ce qu’il considère, à tort, être sa faute unique et personnelle.

Il y retrouve l’amour de sa femme, il se réconcilie avec son père, mais la situation de ses protégés n’est pas définitivement résolue.

Jusqu’où ses actions, suivant une logique implacable, vont-elles le mener ?